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4ème et dernière réunion du groupe d’experts organisée par la Commission européenne dans le cadre de la « Cross-Border Review » - 15.12.2016, Bruxelles


Lancée en septembre 2015 par la Comissaire Corina Crețu, la « Cross-Border Review » vise à identifier et analyser les obstacles à la coopération transfrontalière, développer des outils permettant de les dépasser et formuler des recommandations

(http://ec.europa.eu/regional_policy/de/policy/cooperation/european-territorial/cross-border/review/). 

Après une consultation publique (septembre- décembre 2015 ; résultats http://ec.europa.eu/regional_policy/en/newsroom/consultations/overcoming-obstacles-border-regions/) la Commission a mandaté un consortium pour réaliser une étude plus en profondeur permettant de recenser les obstacles à la coopération et d’identifier des bonnes pratiques de résolutions de certains obstacles

(http://ec.europa.eu/regional_policy/de/policy/cooperation/european-territorial/cross-border/review/#3). En parallèle, la DG REGIO a souhaité confronter ses réflexions et les travaux menés par le consortium avec des acteurs de terrain ainsi que des représentants d’autres DG de la Commission. C’est dans ce cadre que l’Euro-Institut a été sollicité : Anne Thevenet, directrice adjointe, a ainsi participer aux 4 réunions du groupe d’experts et contribuer activement aux travaux

(http://ec.europa.eu/regional_policy/de/policy/cooperation/european-territorial/cross-border/review/#2).

Le quatrième et dernier atelier a été décisif dans la mesure où il s’agissait principalement de discuter la synthèse finale de l’étude qui doit alimenter les travaux de la Commission sur la Communication qui sera rédigée courant du premier semestre 2017 sur l’avenir de la Coopération transfrontalière en Europe et le rôle de la Commission en particulier. Anne Thevenet et les deux autres membres du TEIN présents dans le groupe, Ruth Taillon – directrice du Centre for Cross Border Studies et Hynek Böhm – Directeur de l’Institut Euroschola, ont pu réaffirmer l’importance du renforcement des capacités des acteurs et de l’intérêt, pour y parvenir, de mettre en place des « plateformes neutres, de médiation » (type Euro-Institut) aux différentes frontières.